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Test amour : Quel amoureux(se) êtes-vous ?
L’amour donne des ailes ! Mais il peut aussi vous jouer de sales tours ! 😉 Répondez dans cet article à un grand quiz scientifique pour découvrir votre style amoureux et ses conséquences sur votre santé. Cependant pas de panique, je vais vous donner quelques astuces alimentaires pour survivre à votre personnalité romantique et à votre couple !
Êtes-vous à l’aise dans une relation de couple ? Êtes-vous plutôt fuyant(e) lorsqu’il s’agit de vous engager ? Avez-vous peur d’être quitté(e) ?
Répondez dès maintenant au test amoureux pour discerner votre personnalité. Découvrez votre style sentimental et les conséquences que celui-ci peut avoir sur votre santé.
Test amour : comprenez votre style d’attachement et votre attitude amoureuse
Qui sont les chercheurs qui ont créé ce test amoureux et pourquoi l’ont-ils fait ?
Dans les années 2000, une équipe de chercheurs américains a publié dans le Journal of Personnality and Social Psychology, un questionnaire d’évaluation de l’attachement amoureux chez l’adulte. C’est-à-dire le style de relation que vous construisez dans votre intimité. Ce questionnaire permet l’auto-évaluation sur deux aspects sociaux de votre personnalité : l’évitement et l’anxiété.
De manière simple :
Si vous pratiquez l’évitement, vous ne vous sentez généralement pas à l’aise avec la notion d’intimité. Vous souhaitez rester indépendant(e).
Si vous êtes un anxieux(se), vous craignez le rejet et l’abandon. Vous avez peur d’un rien.
La raison pour laquelle vous adoptez un style amoureux plutôt qu’un autre est difficile à connaître. Selon les chercheurs, cette attitude est en partie déterminée par les premières relations nouées dans votre enfance (avec vos parents principalement).
Dans les années 1970, le psychanalyste anglais John Bowlby théorisa les attachements relationnels. Il remarqua qu’un enfant a besoin d’une relation avec au moins un adulte pour être socialement stable. Il constata que cette relation est enregistrée par l’enfant comme point de repère. Considérée comme une base, elle devient la norme et procure un sentiment relatif de sécurité. L’enfant l’utilise alors comme modèle pour construire toutes ses nouvelles relations.
Les études ont démontré que les sentiments liés à l’attachement demeurent stables pendant les 19 premières années de la vie. Les expériences amoureuses de l’âge adulte viennent ensuite confirmer ou atténuer ces ancrages. Mais la relation nouée avec les parents demeure un indicateur très fort, quoiqu’il arrive.
À l’âge adulte, pour vous sentir en sécurité, vous avez donc tendance à rechercher le type d’attachement que vous avez connu durant votre enfance. Même dans le cas où les relations n’étaient pas saines, elles vous servent quand même de référence… Ainsi, vous pouvez vous surprendre à reproduire des schémas relationnels ou amoureux négatifs, même si vous vous étiez fait(e)s la promesse inverse !
Test amour : Répondez à ce quiz amoureux
Le questionnaire ci-dessous contient 12 questions. Les 6 premières mesurent votre taux d’évitement amoureux. Les 6 suivantes mesurent votre anxiété liée à l’attachement amoureux.
Répondez à ces questions en pensant à votre attitude amoureuse en règle générale, pas uniquement en fonction de ce que vous vivez actuellement. Vous pouvez ainsi répondre à ce test même si vous êtes célibataire.
Pour chacune des questions ci-dessous, évaluez votre attitude et notez-là de 1 à 7 (de « Pas du tout d’accord » à « Tout à fait d’accord ») :
En fonction de ces deux scores, vous pouvez évaluer votre style d’attachement amoureux en vous reportant à la grille ci-dessous. Le score d’évitement correspond à l’échelle verticale et le score d’anxiété à l’échelle horizontale :
Après avoir mentalement reporté sur la grille vos deux scores, imaginez une ligne rejoignant ces deux points. La position de cette ligne vous donne votre style amoureux :
Si votre attachement amoureux est sûr et solide, vous et votre partenaire pouvez avoir mutuellement confiance. Vous écoutez vos besoins et ceux de votre amoureux(se). Vous êtes ouvert(e) et autonome, tout en n’hésitant pas à demander de l’aide si vous rencontrez des difficultés. Si vous n’êtes ni fuyant(e), ni anxieux(se), vous vivez sereinement votre relation et ne mettez aucune pression sur l’autre. Votre relation a toutes les chances d’être stable et durable !
Si vous êtes préoccupé(e), vous mettez certainement trop la pression à votre partenaire. Si vous n’avez pas confiance en lui (ou en elle), cela finira certainement par le (ou la) lasser. Il (elle) risque de vous quitter car cette relation peut devenir très pesante. Vous risquez également de créer une dépendance affective. Tout faire pour l’autre en oubliant vos propres besoins n’est pas sain. Être jaloux(se) ou craindre d’être abandonné(e) peuvent être mignons, mais attention de ne pas en faire trop et à ne pas construire une relation étouffante. Vous allez finir par provoquer ce que vous craignez !
Si vous êtes fuyant(e), vous vous souciez peu des besoins de votre partenaire. Vouloir rester indépendant(e) peut-être sain, mais cela peut également sembler très égoïste. Comment construire une relation stable et durable si vous fuyez constamment ? Soyez honnête avec vous et votre partenaire, apprenez à exprimer vos besoins et vos sentiments. Si vous fuyez l’autre, votre relation a un problème. Vous devez changer votre attitude si vous souhaitez la faire durer dans le temps !
Si vous êtes craintif(ve) et fuyant(e), vous aurez toutes les difficultés du monde à entretenir une relation saine. Vous n’avez pas confiance ni en vous et ni en l’autre. Vous construisez une relation à partir d’une attitude négative. Vous mettez en doute l’honnêteté de votre partenaire tout en l’évitant, cela fait beaucoup. N’ayez plus peur du dialogue et de la franchise. Acceptez l’autre tel(le) qu’il (elle) est et partagez vos sentiments. Si vous souhaitez une relation stable qui dure dans le temps, changez d’attitude de toute urgence !
Test amour : découvrez l’impact de votre style amoureux sur votre santé
Maintenant que vous avez répondu au test amoureux et découvert votre style d’attachement, vous vous posez peut-être la question suivante : Quel peut bien être le lien entre mon style amoureux et ma santé ?
Le département de la santé de la Texas Tech University aux USA vous donne la réponse.
Se basant sur les travaux de John Bowlby, une équipe de chercheurs texans s’est attachée à mesurer si des relations amoureuses toxiques augmentaient les risques de maladies. Mesurant la corrélation entre cancer et attachement, ils ont découvert que le lien existait. Les femmes développant un cancer du sein étaient plus nombreuses parmi les personnalités de type « fuyant ».
Les chercheurs ont expliqué que durant les premières années, les relations qu’un enfant avait avec les adultes qui s’occupaient de lui constituait un modèle psychosocial, physiologique, affectif et cognitif pour le reste de de sa vie. Cela entraînait également la construction durable de modèles de stress et de maladie.
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Le sentiment d’attachement et la sécurité qui en découle entraîne des conséquences physiques et psychosomatiques. La crainte d’être abandonné ou au contraire la peur d’être trop aimé sont des sentiments dont l’origine remonte à l’enfance. Ces sentiments négatifs entraînent des réponses physiques de l’organisme sous forme de stress, d’anxiété, de mauvaise humeur, de dépression, etc. Et cela finit par impacter votre santé…
Types de personnalités et cancer
Partout dans le monde, à l’image d’Yvane Wiart, thérapeute et chercheur au Laboratoire de psychologie clinique de l’Université Paris – Descartes, le monde scientifique démontre que le cancer est lié au stress.
Un type de personnalité, nommé « type C » est même apparu pour décrire ce qui est considéré par certains comme un comportement à risque caractéristique.
Une personne de type C est :
Coopérative
Conciliante
Patiente
Réprime facilement ses émotions négatives comme la colère
A des difficultés à s’affirmer
Est facilement soumise aux autorités
Et sacrifie facilement ses besoins pour plaire à autrui
Surprenant, non ?
J’aurais spontanément pensé l’inverse. Quelqu’un de calme, de patient, qui sait se maîtriser aurait donc plus de risques qu’une personne colérique et impatiente ? Vraiment surprenant.
Vite, vite, piquez une petite colère :
« BORDEL, mais c’est pas possible !!! »
Ahhhh, ça fait du bien… Hahaha 😀
Trêve de plaisanterie, essayons de comprendre. Les scientifiques ont déterminé ces critères en fonction de statistiques précises. S’appuyant sur les tests de personnalité et sur les bilans médicaux de volontaires, ils en ont déduit cette surprenante conclusion. En réalisant ces tests à nouveaux quelques années plus tard, ils ont mesuré l’évolution dans le temps pour affiner les résultats. Toutefois, ils ont du mal à expliquer ces résultats et d’autres études doivent être menées. La théorie actuellement avancée est la suivante. Refouler ses émotions (positives ou négatives) et se soumettre à la volonté des autres induisent de l’anxiété et du stress pour l’organisme. Et comme on l’a vu, le stress entraine une prédisposition au cancer.
Dans le cas du test amoureux que vous venez de réaliser, quelles sont les personnalités à risque ?
Un seul type relationnel est sûr et solide. D’ailleurs, en anglais, ce style amoureux est souvent nommé « secure ». Quand les autres sont appelés « non secure ».
On peut maintenant s’en douter, les personnalités de type « préoccupées » et « craintives » auront donc plus de risque pour leur santé.
Pourtant là encore, il y a une surprise. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce n’est pas les personnalités anxieuses qui courent le plus de risques !
Test amour : les personnalités fuyantes sont les plus sensibles aux maladies !
Malheureusement pour les personnes qui en font partie, le style fuyant est le pire en terme de stress, de gestion des émotions et donc de survenue des maladies. À la suite du test amour, si vous avez un fort taux d’évitement, il vous faut donc pendre des mesures d’urgence pour changer d’attitude !
La science nous l’affirme avec certitude.
Une méta-analyse de 1999 portant sur 46 études différentes a ainsi clairement établi le lien entre les personnalités fuyant les conflits et la survenue du cancer.
Les personnes fuyantes s’empêchent de trouver du réconfort chez l’autre. Les relations humaines servent à partager et à se construire. Se confier à quelqu’un permet de s’alléger de ses soucis. Dans la même idée, demander de l’aide permet de solutionner plus facilement et rapidement ses problèmes. À l’inverse des autres et à cause de cette attitude d’évitement, les personnes de type « fuyant » se retrouvent seules à gérer les situations stressantes. Encore pire, elles ressentent un stress plus fort en présence des autres, de peur d’être jugées.
En 2005, il a par exemple été démontré que ces mêmes personnes, lorsqu’elles étaient soumises à des situations de stress, avaient un rythme cardiaque et une tension plus élevés lorsqu’elles se trouvaient avec leur conjoint que lorsqu’elles étaient seules.
La répression émotionnelle est catastrophique pour la santé !
Lors d’une expérience publiée en 1994, 826 femmes passant une mammographie ont été interrogées sur leur personnalité et leur environnement. Elles passaient ensuite l’examen radiographique du sein permettant de détecter la présence d’anomalie ou non. Les personnes de type « fuyant » étaient plus souvent porteuses d’un cancer du sein que les autres. Un score élevé de répression émotionnelle correspondrait à un risque élevé de cancer.
De nombreuses autres études ont confirmé des conclusions similaires, je vous laisse le soin d’aller jeter un coup d’œil. 🙂
À titre d’exemple, en 2013, une étude qui portait sur 729 personnes qui ont été suivies pendant plus de 12 ans a également conclu que les risques de mort précoce et de cancer étaient en hausse chez les personnes retenant leurs émotions.
Il convient toutefois de rester prudent. Les raisons d’apparition d’un cancer sont multi-factorielles, les causes sont multiples. D’autres études sont plus nuancées sur le lien entre personnalité et cancer. D’autant plus que cela peut-être très culpabilisant.
Malgré certains doutes, les soupçons restent très forts ! Bien que la causalité entre personnalité à risque et maladie ne soit pas certain à 100%, de nombreux chercheurs sont formels.
Inutile de s’apitoyer, passez à l’action dès maintenant !
Si vous faites partie du type « fuyant », il ne faut pas rester inactif(ve). Il faut passer à l’action pour s’améliorer et mettre toutes les chances de votre côté !
Apprenez à exprimer vos besoins et vos émotions !
On l’a vu, il est important de ne pas chercher à contenir à tout prix ses émotions. Il est sain d’exprimer ses besoins et ses colères.
Trois astuces pour vous aider à vous ouvrir aux autres :
Donnez vous comme exercice tout simple de confier un secret par jour à l’un(e) de vos proches. Vous verrez qu’être intime avec quelqu’un ne met pas en danger. Au contraire, les liens qui vous lient à vos confidents seront plus forts et solides que jamais !
À chaque repas partagé avec un proche, exprimez un sentiment profond. Que ce soit de la joie, de la peine, de la lassitude, de l’envie, de la colère, du plaisir, de l’impatience, peu importe, choisissez et ouvrez-vous. Ce sentiment n’a pas à être forcément en lien avec la personne en face de vous. Si vous mangez avec un collègue, confiez par exemple un sentiment profond sur votre vie de couple. Ou inversement. Que ce sentiment partagé soit positif ou négatif, il permettra à l’autre de découvrir un aspect de vous qu’il ignorait certainement. Petit à petit, votre entourage se fera une idée plus précise de qui vous êtes et pourra plus facilement anticiper vos besoins !
Soyez honnête avec votre partenaire amoureux(se). Si vous l’aimez, dites-le lui tous les jours. Si son comportement vous énerve, dites-le lui également. N’ayez plus peur de partager vos doutes et vos peines avec votre amoureux(se), vous ne vous en sentirez que mieux. Si au contraire vous ne l’aimez plus, inutile d’attendre, vous devez prendre votre courage à deux mains. C’est un conseil facile à donner et difficile à réaliser, mais plus vous attendrez, plus cela sera difficile…
De manière générale, lorsque l’on préfère rester secret sur soi-même, on empêche les échanges. Les relations tissées ne seront que superficielles. Quel dommage !
Quittez de force votre zone de confort. Libérez vos besoins, extériorisez vos émotions. Exprimez-vous et votre corps ne s’en portera que mieux.
Améliorez votre vie sociale !
Si vous êtes une personne de type « fuyant », le risque est de devenir timide ou arrogant(e). Or, vos attitudes relationnelles se teinteront probablement d’une forte négativité. Allez au contact de vos proches et confiez-vous à eux, de la façon la plus simple possible. Sans complexe d’infériorité (si vous êtes timide) ou de supériorité (si vous êtes arrogant(e)).
Vous avez besoin des autres pour partager, apprendre et progresser !
Les associations sont le lieu par excellence où les relations se créent d’elles-même si chacun fournit le minimum d’effort pour échanger. Elles peuvent aider les personnes réticentes à faire le premier pas vers les autres.
Avec votre amoureux(se), forcez-vous à partager des moments en tête-à-tête. Invitez-le (la) au restaurant. Là, vous ne pourrez plus esquiver, vous serez obligé d’échanger.
Surtout évitez le piège de la télévision tous les soirs. La télé c’est sympa, mais cela ne fait pas beaucoup discuter. Elle est un peu l’ennemie de l’intimité.
Test amour : utilisez l’alimentation pour changer votre style amoureux !
Pour changer votre style d’attachement relationnel, un outil formidable existe : l’alimentation !
Premièrement, prenez des vrais repas avec votre partenaire !
Le repas est une occasion formidable de partager et d’échanger avec les autres. C’est un rituel précieux.
Lorsque l’on mange à plusieurs sans écran, ni télévision, on mange mieux ! En effet, le grignotage se pratique souvent seul. Manger avec quelqu’un pousse à faire de meilleurs choix alimentaires. On se maîtrise mieux et on écoute plus son corps.
Être assis l’un en face de l’autre crée de l’intimité. Cela facilite l’échange et le dialogue. Prendre un repas permet de se confier, de connaître les petits et gros soucis de l’autre et de partager les siens.
Selon le sociologue Jean-Claude Kaufmann :
« Les choses importantes de notre vie sont marquées par un repas. Sans les repas pris ensemble, que resterait-il du lien ? »
Deuxièmement cuisinez plus !
Cuisinez pour son (sa) partenaire est terriblement romantique. Quel plaisir de mettre les pieds sous la table et de se sentir chouchouté(e) ! Qui sait, vous pourrez en profiter pour jouer le jeu de la sensualité ? Et pourquoi pas cuisiner des aphrodisiaques ? 😉
Cuisiner à deux peut également être l’occasion de beaux partages. Cuisiner ensemble permet d’avoir une activité commune qui n’est pas une corvée. C’est un moment positif où l’on va travailler ensemble à se faire du bien. Pour ceux qui ne savent pas bien cuisiner, c’est justement la possibilité d’apprendre de l’autre ! Cela permet de progresser et cela met en avant les talents de chacun. Surtout à l’heure où savoir cuisiner est un facteur de succès dans un couple. 😉
Jean-Claude Kaufmann, auteur du livre « Casseroles, amour et crise » :
« Ce qui se joue dans la cuisine est moins anodin qu’il n’y paraît. La cuisine, c’est un langage amoureux par défaut. Tout comme le lit, la table crée le couple, qui se construit par la fabrication d’une culture commune. »
La cuisine est le lieu de tous les compromis. Pour cuisiner ensemble, il faut accepter les manières de l’autre. Passer du temps à élaborer les repas à deux crée progressivement une harmonie dans l’alimentation du couple et à terme dans le couple. Les extrêmes s’équilibrent et les goûts s’affinent.
Seulement pour trouver ces compromis, vous devez vous ouvrir à l’autre ! C’est donc l’exercice parfait pour changer son style amoureux.
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Troisièmement, adoptez une stratégie alimentaire qui prévient les risques de maladies !
Le style amoureux que vous avez découvert dans le test amour peut prédisposer au risque de maladies. Le cancer notamment est plus souvent détecté chez les personnes de type « fuyant(e) » (c’est-à-dire avec un fort taux d’évitement).
Vous l’avez lu, pour modifier votre attachement relationnel, il faut remettre en cause votre comportement social.
Vous pouvez également adopter un comportement alimentaire préventif.
Voyons ensemble quelques unes des stratégies alimentaires qui peuvent atténuer les risques :
Avoir un bon niveau de vitamine D.
Une étude américaine de 2007 a étudié pendant 4 ans l’impact de la vitamine D et du calcium sur la réduction des risques de cancer sur des femmes ménopausées. Le calcium seul n’a produit aucun effet bénéfique (d’ailleurs le calcium peut être un faux ami). La vitamine D par contre a fait chuter les risques de cancer de plus de 70%.Manger des aliments bio.
Privilégiez les produits biologiques, c’est-à-dire sans produit chimique, pesticide, désherbant ou solvant (il existe même de la viande bio). Peut-être qu’ils sont un peu plus chers à l’achat (et encore ce n’est pas sûr), mais ils vous apporteront beaucoup !Arrêtez le sucre.
Le plus dur à réaliser pour les gourmands, car le sucre est une vraie drogue ! Pourtant il faut savoir que le sucre accroît le risque des tumeurs. C’est comme un carburant qui stimule excessivement les cellules. D’ailleurs, les centres hospitaliers préconisent de plus en plus des régimes stricts sans sucres pour les patients en cancérologie. L’absence de sucre va « affamer » les cellules cancéreuses et permettre aux traitements d’être plus efficaces. Privilégiez toujours l’eau aux sodas.Fermer les bouteilles d’huile.
Les huiles végétales que l’on utilise pour cuisiner se dégradent à l’air et libèrent ensuite des substances cancérogènes. Pensez à bien fermer vos bouteilles d’huile pour éviter qu’elles ne s’oxydent et stockez-les à l’abri de la lumière.Arrêter la charcuterie.
Il est impératif de ne plus consommer de viande transformée. La charcuterie augmente le risque de cancer de manière prouvée. Diminuez également votre consommation de viande rouge. Celle-ci est désormais classée comme « probablement cancérogène ».Consommez des produits fermentés.
Les produits fermentés non-pasteurisés (comme la choucroute) contiennent du butyrate. Cet acide gras a prouvé sont effet bénéfique sur les cellules cancéreuses. Pour avoir plein d’idées sur les légumes fermentés, consultez l’excellent site Nicrunicuit.com.Cuire lentement.
Ne faites surtout pas surchauffer vos aliments. Préférez toujours une cuisson lente et douce à 80° C. Sniff 🙁 au revoir barbecue et fritures… Mais votre santé vous remerciera ! 🙂
Conclusion
En rédigeant cet article, j’ai découvert que le style amoureux a une très grande influence dans nos vies. Sur les relations bien sûr, mais également sur la santé.
La cuisine et l’alimentation peuvent être de redoutables alliés pour éloigner les risques de maladies. Autant ne pas vous en priver !
Contre ces risques, n’oubliez pas non plus le sport, un bon allié pour perdre du poids. Le « petit » ventre que vous avez peut-être augmente le risque de cancer, même si vous n’avez pas de surpoids. Attention donc à contrôler votre poids et votre volume de graisse abdominale. Si vous avez un doute, l’article Calculer son IMC : Comment savoir que l’on est en surpoids ? que j’ai rédigé vous aidera à y voir plus clair.
Lire aussi : Pourquoi prend-on du ventre ?
Plus généralement (et certains trouveront cela anecdotique), comme lors de vos repas, évitez d’avoir la télévision dans votre chambre. Ce tue-l’amour pourra détruire votre vie de couple à petit feu sans compter qu’il nuit à la qualité de votre sommeil (et donc à votre cerveau et à votre mémoire).
Comme quoi tout est lié ! L’amour, vos repas, votre goût pour la cuisine, l’approche de votre entourage et même votre mode de vie peuvent avoir plus ou moins de conséquences sur votre santé et peu le savent. Maintenant que vous ne faites plus partie des ignorants, lancez-vous !
Mais assez parlé, à vous la parole ! Avez-vous été surpris(e) par ce test amoureux ?